Elle pleure, gémit. « Moi qui me faisais une telle joie. » En même temps, je suis pris de remords, de culpabilité ; suis prêt à lui dire : « Bon, je viendrai. » Mais ce jour-là, c’est Pâques et elle n’aurait pas supporté d’être seule le jour de Pâques. Je suis excédé lorsque je raccroche. Il est tard. Douchka et Éléonore ont mangé. Je parviens à me calmer avec L’armée du Japon dont j’entame le premier chapitre que je finirai au lit...

 

27 mars 2007