Auparavant, j’avais regardé le troisième film du coffret, The most beautiful (Ichiban utsukashiku), 1943, film de propagande déclaré, bien fait à la manière d’un film de propagande, on ne peut pas se tromper. C’est un peu plat, filmé vite fait, sans grand intérêt hors contexte ; je m’y suis un peu ennuyé. Mais le plan final est très beau. J’ai aussi noté un découpage singulier qui apparaît déjà dans Sugata II : pour représenter l’attente, il fait se succéder quatre ou cinq plans fixes du visage de l’une des filles (Watanabe) ; il avait procédé de la même façon avec la fille de Murai dans Sugata

 

5 juin 2013