« […] seuls pouvaient travailler les cinéastes dans lesquels les services de la propagande avaient confiance, et Kurosawa a laissé suffisamment d’articles véhéments pour que la sincérité de son soutien à la politique nationale soit difficile à mettre en doute. Par ailleurs, il ne s’est pas contenté de réaliser ce film [Le plus beau], il en a écrit le scénario et l’a toujours considéré comme l’un de ses préférés. »

 

Pas moi. (Et « en qui » est préférable à « dans lesquels ».)