« Il se dit qu’il serait peut-être temps de payer sa note, car dans sa précipitation il était parti à la cloche de bois. »

 

En douce, je présume. En effet. J’ai craint qu’il ne se soit agi d’une expression suédoise traduite littéralement. C’est une variante de « déménager à la cloche de bois », apparue au XIXe siècle (elle-même variante de « déménager à la ficelle »), c’est-à-dire déménager en douce, et, dans le contexte, sans que le concierge de l’immeuble, qui disposait d’une cloche normale pour être averti des entrées et des sorties, ne s’en aperçoive.