J’ai passé une bonne partie de la soirée avec Le vieux. Je m’y étais résolu et je voyais cette tâche comme une corvée ; sans me déplaire, ce texte me semblait un peu long. Et puis, quelque chose a fait que je m’y suis attaché, et c’est sans doute la partie biographique du personnage qui en est responsable. Finalement, ce texte va au-delà du comique (qui aurait pu être suffisant, mais dans la brièveté) et de la farce, et ce personnage loufoque qui traverse le XXe siècle en en influençant la trajectoire devient porteur d’une réflexion. Il me reste une cinquantaine de pages. (Et, si j’excepte quelques bourdes, c’est bien écrit…)