J’ai fait un peu de traduction et suis allé embrasser Daphné avant d’aller me coucher avec Les Exclus qui commence à me lasser. Années cinquante dans une Autriche qui sort de la guerre, des adolescents rebelles et haineux, désenchantés, un ton étonnant qui me rappelle Selby et passablement curieux sous la plume d’une femme. Mais au bout d’une centaine de pages, plus rien ne me surprend, et je lis d’une manière presque automatique. J’attends, malgré tout...

 

2 avril 2005