Un cas d’adultère :

« Après trois jours au pilori, l’homme et la femme étaient rayés de l’état civil national, perdant leur nom, leurs droits de citoyen et leur qualité d’être humain. Seule leur était tolérée une vie de mendiant ou une activité considérée comme une souillure, ainsi la manipulation des cadavres de condamnés, le dépeçage des peaux et la tannerie, le nettoyage des égouts et latrines, et la chasse aux rats dont les hinin avaient le monopole. »

 

 Hinin, les non-humains, si mes souvenirs sont bons, qui seraient donc les burakamin dont me parlait Yuki…

Entre parenthèses, c’est l’animal qui est dépecé, c’est-à-dire débarrassé de sa peau, et non la peau elle-même…