« Les praticiennes de haut et moyen rang se teignaient les dents en noir mat avec une décoction d’oxyde de fer dans du thé ou du vinaigre, puis malaxée en pâte avec de la farine d’orge, de riz et de noix de galle, le tout étalé au pinceau sur les dents ; à leur libération, elles ôtaient la teinture avec de la poudre de sable, afin de redevenir comme des femmes “ du dehors ”. Puis, lorsqu’elles se mariaient, se reteignaient les dents de la même façon pour signaler leur condition d’épouse. » C’est tout de même très étrange. Une courtisane qui serait sortie du Quartier aurait dont pu être prise pour une épouse. »