« Un peu partout, se forment des comités d’empathie où la douleur de l’autre est ressentie comme la sienne propre. »

 

Je dirais plutôt « sympathie » qui, étymologiquement, est « souffrir en même temps », « ressentir la douleur de l’autre »...

Empathie et sympathie sont pratiquement équivalents (encore que je ne saisisse pas bien la nuance qui devrait séparer l’empathie de la sympathie – pour justifier la création du premier), mais « sympathie » me semble tout de même un mot beaucoup plus agréable : un comité de sympathie plutôt qu’un comité d’empathie (mais il y a bien quelques imbéciles qui vont se dépêcher de transformer tout cela en comités sympas, n’est-ce pas ?)