Je l’ai entamé avec le scepticisme qui s’impose face à un tel titre... Claude Yoshizawa, père japonais, mère française. Une première partie est consacrée à la phonétique et à la prononciation où il omet de mentionner l’ellipse du « i » dans nombre de cas (« ashita » qui est dit « ashta », par exemple), celle du « u » pareillement (« kuruma » qui se prononce « kurma »). J’ai entamé la partie consacrée à la structure qui, il a raison, est d’une grande simplicité ; encore faut-il l'habileté pour l’utiliser et surtout y appliquer le vocabulaire. Mais j’attends. Il n’est pas impossible que Léo et moi ayons pris un mauvais chemin en nous servant de méthodes universitaires. J’en suis à un tableau général qui reproduit la structure de la phrase. Y figure la bonne prononciation de « desu », c'est-à-dire « des », mais pas celle de « mashita » qui se prononce « mashta ». Ensuite, l’auteur part « au » Japon. Tout cela manque singulièrement de rigueur.
29 décembre 2005