Il s’est produit cette drôle de chose : j’allais dans ma boutique, passais devant la souffrance, ai pensé qu’il serait peut-être bon de l’épurer ; j’ai pensé en particulier à cette autre Histoire du Japon dont ma main s’est emparée ; je ne le lirai jamais (voir le précédent avec Souyri), je ne pourrai même pas le vendre à cause de son poids. Machinalement, je l’ai feuilleté, mon regard a accroché un tableau, celui des hiragana et katakana ; j’ai jeté un œil, ai lu les commentaires joints, dont HIYORA, en ai lu deux pages, suis descendu avec, l’ai pris du début. L’introduction ne m’apprend pas grand-chose (quoique), mais il y a un ton qui me plaît, un ton que n’avait pas le Souyri. Je vais tenter l’expérience...