Les immeubles de plus de huit étages de la décennie précédente :
« L’espace japonais perdait toute signification puisqu’on ne pouvait plus compter sur les jeux d’ombre et de lumière pour créer la profondeur de champ suffisante à la création de l’harmonie chez un individu qui voit la vie au ras du sol assis sur le tatami. Les jardins furent d’ombre. Bientôt des associations se constituèrent dans les quartiers pour réclamer le droit au soleil. »
Droit reconnu en 1977 par le Parlement.