« […] celui qui est “ public ”, l’espace anonyme de la rue, des transports en commun que l’on utilise avec résignation parce qu’on y est obligé et qui, paradoxalement, développe une généralisation des comportements : on peut, dans la rue ou dans le métro, faire ce qu’on veut, jeter par terre des papiers gras ou des bouteilles de Coca-cola, ne pas se préoccuper des passants, etc. »

 

C’était dans les années soixante. Les choses ont-elles changées depuis car s’il y a bien une chose qui m’a frappé au Japon, c’est la propreté quasi clinique de tout espace extérieur quel qu’il soit et à quelque endroit que ce soit.

(J’ignore à quoi se rapporte mon jeu de mot et ce qui le justifie...)