Jacquel commence à me lasser. Il règle son compte à l’homme, à Dieu (principalement, source de tous maux, il n’a pas tort – sauf que Dieu, c’est l’homme), c’est plutôt réjouissant et il a un ton, mais, comme je m’y attendais, il tourne en rond, se répète ; ça commence à me donner le tournis. J’ai décidé de continuer, pour Emerald, pour l’auteur et sa colère, sa hargne, son authenticité (par respect, considération ?), mais cela m’étonnerait que j’aille jusqu’au bout…

(Ce n'est pas un écrit d'un seul tenant : un certain nombre de chapitres sont des articles publiés à diverses époques, certains avant-guerre.)

 

11 juin 2018