Temps inchangé, j’ai même l’impression que « dehors » il fait plus chaud qu’hier. Ici, dans l’appartement, il fait bon. Je suis sur le balcon, à l’ombre ; il souffle un petit vent frais (insuffisant pour agiter le drapeau qui étrangement ne claque plus du tout). Je poursuis les Contes de l’Alhambra. J’y suis enfin : il m’a fallu attendre la page 128 pour qu’ils commencent. Ce qui précède, c’est le décor planté par Irving qui y passe plusieurs mois (je ne sais plus à quel titre). L’écriture, parfois, m’agace, mais je lis sans déplaisir. Et j’attendais les contes. Les voici…