C’est sans surprise que je découvre dans ma bibliothèque un autre exemplaire de La Cantatrice (sans ex-libris et en assez mauvais état). Ma mémoire n’en a pas conservé la moindre trace, évidemment. Je conserve l’autre.

(Parfois, je me dis que je ne suis pas moi, ou plutôt, que je n’étais pas moi, ou encore, pas encore tout à fait moi. Comment se fait-il que ce texte, qu’il m’ait plu ou non, n’ait pas laissé la moindre trace en moi – si, une infime, puisque obscurément je m’attendais à le trouver sur l’étagère.)