J’ai désherbé un peu avant de m’installer pour lire quelques pages de Bad Girl à la table de la terrasse ; il m’en reste trois que je me réserve pour tout à l’heure avant d’aller au lit. Finalement, ce n’est pas si mal (je suis fatigué, bâille et peine à avoir les idées claires). Vais-je passer au suivant (l’un des suivants : il m’en reste deux, Textes choisis et Reflets dans un œil d’homme ?... Éléonore est rentrée, a bonne mine. Elle était contente de trouver la maison rangée et propre (j’ai aspiré et lavé – depuis combien d’années n’avais-je pas manié un balai et une serpillière ? j’ai l’impression que la dernière fois remonte à la rue Manuel), de la retrouver, tout simplement, la maison, le jardin. C’est tout de même une très belle maison, je m’en rends compte de jour en jour. Et le toit lui plaît. C’est vrai que c’est du très beau travail, et même l’habillage du chien assis, qui au départ m’avait fait tiquer – j’aurais voulu qu’il reste tel quel avec le crochet à poulie d’origine (qu’en ont-ils fait, au fait ?) et il me semble qu’il avait été question de le retaper et non de le recouvrir – me plaît… Dans le journal de ce matin, il y avait une demi-page au sujet de la crypte de la basilique avec une photo à l’appui. Mia m’en avait parlé ; j’avais dit « quelle crypte ? », « celle de la basilique, elle est super ». En effet, elle a l’air « super », il faudrait que j’y aille (cela fait un an et demi que nous habitons ici et je n’ai pas encore trouvé le moyen d’aller au musée du château, à cinq minutes à pied de chez nous)…
14 juin 2022