133 « adhésion » ?
« […] un roman ne doit être ni de “ l’art pour l’art ” ni “ engagé ” [elle cite Romain Gary] ; il doit être bon, et pour être bon, il doit faire exister un monde qui, le temps de la lecture, emporte totalement le lecteur, et son adhésion avec. » Hormis le fait que je ne comprenne pas à quoi s’applique l’adhésion en question et que je ne sache pas bien ce qu’est un bon roman, je pense que ce monde doit continuer à exister après la lecture ; sinon, il est du domaine de la distraction, du divertissement…
172 « lecteurs »
Ce n’est pas la première fois ; dans un texte portant sur la
femme ; pourquoi pas « lectrices » ou lecteurs lectrices ?
235 « parer » mais il y a aussi « parer un coup » (lui donner une parure ?)
« […] même ce verbe de “ parer ” est ambigu, à la fois transitif et intransitif ; car se parer est aussi bien un trait caractéristique des guerriers et des prostituées : ils sont par excellence dans la parure. » Non, j’ai mal lu ; elle écrit auparavant : « Masques, tatouages, cicatrices constituent une sorte de cuirasse protectrice destinée à parer les coups. » Pardon…