Hier, Sébastien nous a montré un livre qu’il vient de publier chez l’Harmattan (il dit qu’il s’agit de la plus importante maison de France ; je n’en ai jamais entendu parler). C’est une collection de poésie, « Poètes des cinq continents », deux textes dont l’un est L’inerte (j’ai oublié le second). Il a participé aux frais. J’apprends incidemment son âge (voir quatrième de couverture). Il n’est pas fâché, mais pas très content non plus. Il aurait préféré Gallimard…

 

8 juin 2002