J’ai commencé par feuilleter le livre de Sébastien avec la promesse de l’entamer et de m’y attacher. Je n’y suis pas parvenu. Qu’il m’en excuse, mais ce type d’écriture, qui plus est de poésie, requiert décidément un état d’esprit particulier, et je crains que je ne sois pas dans cet état-là. J’ai alors entamé Bernanos...

 

13 août 2002