Je poursuis Plateforme, mais comme une mécanique, comme quelqu’un qui lit pour passer le temps. Les bites et les chattes qui, jusqu’il y a un temps, pouvaient se justifier, entrent eux-mêmes dans un mécanisme qui relève de l’ennui et de la lassitude, tant celle du lecteur que de l’auteur. Je ne vois pas comment je pourrais trouver de l’intérêt là où lui-même n’en trouve pas. De plus en plus, je sombre dans du mauvais Dard (dommage, car au nom de Bataille, j’avais failli ajouter celui de Mirbeau et principalement son Jardin des supplices)…