Cette nuit, avec empressement et jubilation, je
me suis de nouveau laissé emporter par la spirale. J’y suis revenu tout à
l’heure. Aujourd’hui, mais peut-être est-ce dû aux cervicales, c’est bien
l’auteur qui lisait et non le lecteur. Tout cela m’a semblé particulièrement
vain (ou est-ce Houellebecq et sa prose de catastrophe qui m’influencent ?).
12 avril
2003