Traduction littérale, scolaire, épouvantable et irritante. Je viens de saisir les notes et j’ouvre au hasard ; il n’y a pas un paragraphe sans une faute, une lourdeur quelconque. Par exemple, p. 108 : « Elle rechargea posément son arme en se demandant pourquoi elle effrayait Karl au lieu de le descendre. »

Une autre, p. 138 :

« Dans le taxi, C.B. eut une improbable impression de prospérité en reniflant
l’air qui embaumait l’odeur particulière aux voitures neuves. » 

 

« En reniflant l’odeur particulière aux voitures neuves qui embaumait l'air », en quelque sorte.

 

Au fait, il s'agit de Brice Matthieussent assisté de Google et de Systran.

 

18 août 2010