Spécial langue française.

Notes :

 

p. 44 seconde colonne, l’Académie Française

 

p. 56 seconde colonne, accents, orthographe

« […] il n’y a pas de concordance historique entre la reconnaissance du bon usage et la “ graphie correcte ” du français. Si l’on doit l’accent aigu à Ronsard et l’accent grave à Corneille, les écrivains jusqu’à Flaubert n’ont jamais accordé une grande importance à la représentation visuelle de leurs textes : du XVIIe au XIXe siècle, un même mot peut être écrit de plusieurs façons dans la même page d’un manuscrit. Ce sont les fonctionnaires et les imprimeurs qui ont cherché à fixer l’écriture : on doit le mot orthographe à l’imprimeur royal

Geoffroy Tory, en 1529… »

 

p. 65 : la carte de l’empire de Charlemagne

Comment circulait l’information, comment le pouvoir s’imposait-il ? comment quelqu’un de Barcelone savait-il de qui il était le sujet ?... Je note que si la moitié de l’Italie est carolingienne, Venise, par contre, est épargnée.

 

6 février 2002