J’avance. J’ai ri de bon cœur à plusieurs reprises, notamment à la mention de la « bite sectionnée » (page 47). Par moments, je ne suis pas loin de m’y retrouver ; dans le ton. Mais, dans une certaine mesure, je suis déçu ; je m’attendais, au vu du déchaînement qu’il provoque, à quelque chose de plus extrême, d’un côté ou de l’autre de la balance littéraire – j’ai hésité un peu avant de tracer ce dernier mot…