Il traîne dans mon vestiaire
depuis plus dun an
à côté du premier tome dUn homme sans qualités
de Musil
Notes :
p. 18, 58 à 60
argot
p. 41
la chanson
p. 76
« Et pourtant, misérables lois et misérables hommes,
je nétais pas un méchant ! »
p. 81
« Mais si ces morts-là reviennent, sous quelle forme
reviennent-ils ? Que gardent-ils de leur corps incomplet et
mutilé ? Que choisissent-ils ? Est-ce la tête ou le
tronc qui est le spectre ?
Hélas !
quest-ce que la mort fait avec notre âme ? quelle
nature lui laisse-t-elle ? qua-t-elle à lui prendre
ou à lui donner ? où la met-elle ? lui prête-t-elle
quelquefois des yeux de chair pour regarder sur la terre, et
pleurer ? »
...