Ipséité ? que je ne connais pas ; je ne vérifie pas, mais
il y a bien ipse, si je ne m'abuse, c'est-à-dire lui-même...
Très bien, à ce point que je n'ai presque pas envie d'aller lire l'auteur (Blanchot), comme si ce texte suffisait en soi et pouvait me dispenser d'en « savoir » davantage (obscurément, j'ai toujours eu la tentation de penser qu'une critique, un article de fond au sujet d'un auteur, un ouvrage, devait se suffire à eux-mêmes ; n'être pas un appel à lire, comme pour vérifier, ou approfondir, mais une extension, un prolongement dudit auteur, ou ouvrage – même si on ne l'a pas lu...).
p. 205 : « [...] du journal intime un cri déchirant en direction de la communauté sociale [...]. » Simple relevé qui n'appelle rien d'autre que cette question : mon journal est-il intime ? (L'intimité n'est-ce pas justement ce qui reste totalement et constamment en soi ? et donc non lu, non connu, non divulgué...)
La « récollection » à distinguer de « recollection » ?
208 : « lévinassienne »,
pas très heureux (qui fait complètement éclater le
« vinasse »
auquel, sinon, on peut se permettre de ne pas prêter attention)...
29 octobre 1999