(Raymond Hains, c'est un...) Travail attractif. Le goûts des mot et le jeu avec. Dommage que cela s'inscrive dans une mouvance (tendance) qui, il n'y a pas si longtemps que cela, fleurissait à travers le pays, belle manne dont se sont gavés nombre d' «
 artistes » de ma connaissance, lyssois ou non, notoires ou pas. Hains n'y est pour rien, mais c'est dommage tout de même. C'est comme certaines pièces musicales, Bartók en particulier, que l'on ne peut plus écouter sans songer au pillage dont elles ont été l'objet pour l'alimentation ordurière de la musique de film, ou tout autre forme d'illustration musicale... (C'est avec réticence que j'ai dû le rendre à Doriane qui en est la véritable propriétaire...)

10 février 1998