Huxley continue à discourir, théoriser, méditer. Le roman semble n'être qu'un prétexte à émettre des idées, à y réfléchir, le bien, le mal, l'amour, Dieu. Des choses très bien, quoique pas très neuves, je veux dire rien que je ne connaisse déjà ou à quoi j'ai déjà réfléchi. C'est tout à fait « intéressant » (y a-t-il un mot plus vide que celui-ci ? mais comment y échapper ?). Mais je n'aime guère cette idée que le roman l'intrigue, la trame ne soit qu'un prétexte. Comme un emballage...
25 octobre 1990 (courrier à Marcel)