À ma droite Une ville de papier que j’ai pratiquement avalé d’un trait. Très belle histoire de la ville qui n’existait pas et tout à la fois a une réalité. L’écriture est un peu scolaire, dommage. Et puis, il s’agit d’un récit et non d’un roman comme c’est indiqué sur la couverture... Apparemment, rien n’est inventé, tout a l’air authentique (je viens de vérifier, ça l’est)… J’ai débloqué la fin de San Martino, j’approche de la forme finale

 

retour