J’ai achevé le III en faisant l’impasse sur Faisons un rêve que je connais trop bien, encore qu’y figure un quatrième acte qui, à en croire la présentation, n’aurait été joué qu’une seule fois, à la création, en 1918, puis supprimé par la suite pour des « raisons d’horaire ». De toute façon, cette sorte d’épilogue n’ajoute rien à la pièce… Madame Bergeret clôt l’ensemble, une pièce en un acte qui serait la dernière qu'il aurait écrite et qui, sans que j’exagère, est tout simplement lamentable...
31 juillet 2011