L’auteur, ou plus vraisemblablement l’éditeur, a dû s’effrayer du mot « boulevardier ». À voir le sens qu’il porte en anglais, mais il ne semble pas que le mot soit insultant ou dégradant associé à Guitry, surtout s’il s’agit du dernier des boulevardiers, ce serait plutôt un compliment. Et c’est bien ce qu’était son théâtre, du boulevard...