Je me suis glissé dans le lit et ai regardé Assassins et voleurs. Pourquoi celui-là ? J’avais envie d’un Guitry. Alors pourquoi pas celui-là dont du reste je n’avais gardé que peu de souvenirs. De ce fait, ce matin j’ai tiré de la souffrance Le diable boiteux ; je regarderai la version cinématographique ce soir dans les mêmes conditions puisque ce n’est que dans deux jours que nous aurons du fioul. Cette version, dit Guitry, précède exceptionnellement la pièce au théâtre...
4 mars 2005