J’ai passé la soirée un peu bêtement devant la télé, les lombes un peu chaudes et essoufflé. À la fin, j’ai agrippé le Cinéma de Guitry (depuis combien de temps est-il là ?) pour entamer Si Versailles m’était conté. Mais au bout de quelques pages, les yeux ont commencé à me piquer et j’ai dû arrêter. Je me suis retrouvé au piano à répéter obstinément les mêmes lignes de Bach, avec douleur et joie…
1er novembre 2017