Je vais et viens entre mon bureau et le salon d’hiver où, avec une cigarette, je poursuis La tyrannie. C’est palpitant, voire excitant. Et instructif, même si, au bout du compte, il n’y a pas de surprise : depuis la nuit des temps et quelle que soit la culture, la civilisation, l’homme est le plus fort et la femme une salope (sorcière, tentatrice) juste bonne à pondre et à nettoyer la maison (et à écarter les cuisses, bien entendu, n’est-ce pas, messieurs ?). On n’en sortira jamais…

 

21 novembre 2017