Éléonore est rentrée hier soir, le coffre plein de livres, de nourriture. Après les baisers et les sourires, je l’ai aidée à décharger. Elle dit qu’elle est fatiguée, qu’elle a passé ces quinze jours dans l’appartement à travailler à ses multiples traductions. Elle m’a offert trois livres dont The Rat, Günter Grass, une bouteille de Tina Maria de la part de sa mère et une chemise à col Mao qui heureusement est trop petite…

 

29 juillet 2003