
Le premier acte, un peu fade, s'achève ;
et, tout à coup, alors que le second commence, tout bascule :
invention, trouvailles, esprit ; jeu de miroirs, la pièce dans la pièce,
les personnages qui deviennent public et le public personnage, et quelques beaux
échanges, ainsi celui, admirable, entre Paulette et Hério (p.192), où comment un
homme qui suit assidûment une femme et l'ennuie parvient à renverser la
situation et à transformer l'agacement en amour... (Je ne sais
toujours pas pourquoi Berg-Op-Zoom, des Pays-Bas ; ce n’est
peut-être qu’un jeu phonétique, ou un plaquage à la Magritte...)