« C'est effrayant de vivre à deux quand on ne s'adore pas !... Quelle indécence et quelle horreur ! » Ça commençait bien, c'était prometteur ; ça se poursuivait pareillement et arrive le quatrième acte où tout dégringole, où je tombe tout à coup dans une espèce d'ahurissement : qu'est-ce que c'est que cette fin ridicule et poussive ? Sacha a écrit cette pièce pour Lucien : n'était-ce pas une manière de l'humilier en lui faisant endosser cette capote trouée, garnie de l'invraisemblable revirement de l'ignoble crapule qu'est son épouse, crapulerie qui était bien le centre – et d'une certaine manière l'intérêt – du sujet... (Pour information : il s'agit du numéro 133 de La Petite Illustration du 10 février 1923...)

 

22 août 2000