J’arrête à la page 149 où le marque-pages me révèle une phrase lys, p. 32 : « Fantasque comme une belle en ces heures enivrantes où le miroir fidèle se referme si jalousement sur son front plein d’orgueil et aveuglant de clarté, sur ses épaules au teint de lis et sur son cou de marbre ombragé d’une vague sombre tombée de sa chevelure châtain […]. » Je pense que le temps n’est pas propice à la lecture d’histoires paysannes à la sauce sorcière...

 

18 mars 2008