Après le repas, j’ai repris Le soleil des Scorta, avec une certaine impatience, je dois le dire, mais qui avait davantage à voir avec le simple plaisir de lire qu’avec le texte en lui-même. Je sais tout, on sait tout, rien ne surprend, ni l’histoire, ni l’écriture (la rupture de phrase règne, prolifère), mais je me laisse aller.
26 mai 2014