Prêté par Maurice avec un recueil de poèmes de Brautigan (dont j'ai oublié le titre). Je pense beaucoup de bien de Gerber, ne suis pas loin de l'aimer vraiment, ainsi que Brautigan. Ces deux livres tombaient à pic, et comme ils sont tous deux courts, je les ai lus dans la journée (après une brève hésitation, réticence de lire des livres prêtés, qui le sont dans la majorité des cas par Maurice, qui d'ailleurs le sait mais s'évertue tout de même à m'en apporter d'autres que je finis toujours par accepter et par aimer puisqu'il sait que ça me plaira, et dès lors je peste puisque je dois les rendre en sachant que je ne pourrais les acheter, soit parce qu'ils sont récents donc chers, soit parce qu'ils sont introuvables, et il est arrivé plusieurs fois qu'il m'en fasse cadeau, car en plus d'avoir du goût, il est adorable – bonjour Marcel). Et bien sûr, j'ai aimé ces deux livres, et les ayant aimés, j'aimerais les voir figurer dans ma bibliothèque, et ça ne se fera pas puisque je dois les lui rendre (m'en fera-t-il cadeau ?).

16 mai 1990