La guerre, les KG. Le Grand Dab, premier personnage (l'auteur ?) et ses compagnons d'infortune. La misère, l'enfer, l'humiliation. Les personnages qui s'expriment comme ils sont ; c'est un peu Céline, un peu Boudard ; un peu l'air du temps, aussi, celui de l’après-guerre... C'est une histoire comme on en a tant lu, ou vu. La guerre, les nazis, les prisonniers ; ça marche toujours, et pour peu que ça soit bien écrit, et bien senti (peut-être et surtout bien senti), on se laisse aller avec passion et avidité (et compassion). Mais pour l'heure, je ne suis ni passionné, ni avide. Mais entraîné. J'y retourne...

 

11 mai 2001