Hier, j’ai fait le latin pour la prochaine séance, texte malheureusement tronqué (Apollos doit nous envoyer le reste en photocopies). J’y ai pris un plaisir plus vif qu’à l’accoutumée ; peut-être était-ce plus abordable, peut-être étais-je mieux disposé. Toujours est-il que cela me manque : j’ai envie de latin. Je ne dispose évidemment d’aucun autre texte ici. Dans La parole baroque figure une reproduction d’Ex voto de Champaigne ; j’ai eu l’idée d’en traduire l’inscription.