« […] le corps
baroque était aussi un vide où passait l’énergie, non seulement celle,
matérielle, des “ esprits ” cartésiens, mais également
celle de la lumière, où se rendait appréhensible le Dieu caché. »
Puis :
« […] dans la représentation la nature est
trop présente dans sa totalité, et qu’elle s’y donne à voir non
seulement sous les formes appréhensibles par la raison humaine, mais aussi sous
les aspects qui lui sont habituellement cachés. »
Encore :
« Avec les décors en perspective linéaire, on a
vite constaté qu’il n’y avait dans toute la salle qu’une
seule place d’où l’image censée créer la réalité de
l’espace scénique fonctionnait d’une manière absolue, et d’où
était appréhensible le sens métaphysique du système de représentation
[…]. »