Et en ce qui concerne la survie, l’auteur dit : « Si on admet ce point de vue comme hypothèse, il faut chercher une autre (?) explication à la survie de la langue française. Elle se trouve, je crois, dans la prononciation qui s’appliquait, jusqu’à la Révolution, dans l’art de la déclamation. » Et d’étayer, explications qui ne me semblent pas très probantes. Quoique, p. 96, deuxième paragraphe…