Je m’apprêtais à m’installer dans le jardin avec un café et la préface du Révizor lorsqu’on a sonné. J’étais en yukata, suis monté tandis qu’Éléonore allait ouvrir. C’était Achille. Je suis aussitôt remonté. (Il faisait trop chaud dans le grenier, j’ai passé la soirée et une partie de la nuit dans le séjour, avec l’ACER bleu – mon propre ordinateur est définitivement inutilisable – et quelques affaires, dont le 24 septembre de Mai imprimé. Je l’ai lu, c’est lamentable, tout est à refaire – non : à faire ; on dirait qu’il est encore à l’état brut et je me demande à quoi ont servi les cinq lectures précédentes –, en particulier ce qui concerne Valère. C’est à mourir de rire…)

 

26 août 2016