Soirée calme hier, enfin, j’en ai profité pour lire. Je n’avais rien descendu, n’ai pas eu l’énergie de monter et me suis rabattu sur les quelques livres entamés qui m’attendent en bas depuis des lustres, Ogawa, Kawabata, Gogol. Gogol l’a emporté ; j’ai lu avec un grand plaisir La brouille des deux Yvan. (Le marque-pages était glissé à la fin de la précédente nouvelle que je n’avais donc pas terminée. Il restait trois pages ; je les ai lues sans le moindre souvenir de ce qui les précédait…)
9 août 2013