J’en suis à Sauve qui peut (la vie), que du reste je n’ai toujours pas vu. J’avais des mots tout à l’heure, en lisant, je ne les ai plus. Tant pis. Il n’empêche que Brody qui, dans l’ensemble a un ton qui me plaît, aurait pu se garder de préciser que Godard avait perdu un testicule dans son accident des années soixante. Je pense que j’aurais omis ce détail si j’avais eu à traduire ce texte (et j’aurais aimé le traduire – l’est-il, au fait ?).
13 juillet 2009