J’ai rangé la table, ai fait la vaisselle, me suis installé dans le sofa jaune du salon d’hiver avec le journal et une cigarette. Je suis monté, ai repris Godard que je lis toujours avec le même plaisir singulier et énigmatique. J’en suis à À bout de souffle. L’auteur parlait des courts et ça a été l’occasion de les revoir (et de concrétiser l’idée que j’avais eue en lisant Brody, celle de revoir au fur et à mesure de la lecture les films abordés). J’en avais un meilleur souvenir et seul Histoire d’eau s’en tire à peu près bien… Je vais tâcher d’appliquer l’idée à celui-ci.
21 avril 2010