« […] nous voulons faire des films révolutionnaires, et je suis forcé, moi, de travailler toute la journée avec des gens qui me haïssent et que moi, je méprise. Je suis contraint de faire de la coexistence pacifique toute la journée : depuis l’aube, je passe mon temps à sourire à des gens qui ne sont rien, qui ne devraient pas exister. Je suis forcé de faire un film qui va contre ces gens-là, donc qui cherche un autre public et qui ne le trouve pas. »
Rien ne le force à quoi que ce soit.